C'est la rentrée : déjà un 1er préavis de grève chez Soléa
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Re: C'est la rentrée : déjà un 1er préavis de grève chez Soléa
On n'engage jamais une grève pour se faire plaisir.
C'est malheureux pour les utilisateurs, comme toujours.
Si c'est le dernier recours pour l'obtention de satisfactions éventuelles par rapport
à certaines revendications justifiées, voire primordiales pour les employés concernés,
ces journées doivent être organisées et suivies de façon à impacter l'opinion.
C'est mon sentiment personnel qui n'est pas forcément celui de tout le monde.
C'est malheureux pour les utilisateurs, comme toujours.
Si c'est le dernier recours pour l'obtention de satisfactions éventuelles par rapport
à certaines revendications justifiées, voire primordiales pour les employés concernés,
ces journées doivent être organisées et suivies de façon à impacter l'opinion.
C'est mon sentiment personnel qui n'est pas forcément celui de tout le monde.
lion
Re: C'est la rentrée : déjà un 1er préavis de grève chez Soléa
opinion que je ne partage pas.
Ces syndicats sont faibles et manquent de poids (c'est de leur faute ... )
Pourquoi ne se mettent-ils pas ne grève fin aout ? Là, c'est juste au moment ou une partie des usagers apprendra son trajet, reprendra ses habitudes, et déjà, il faudra trouver des solutions alternatives quand les horaires ne colleront pas !
Bref, une prise d'otages !
Ces syndicats sont faibles et manquent de poids (c'est de leur faute ... )
Pourquoi ne se mettent-ils pas ne grève fin aout ? Là, c'est juste au moment ou une partie des usagers apprendra son trajet, reprendra ses habitudes, et déjà, il faudra trouver des solutions alternatives quand les horaires ne colleront pas !
Bref, une prise d'otages !
Re: C'est la rentrée : déjà un 1er préavis de grève chez Soléa
C'est parce qu'ils manquent de poids qu'ils perturbent le système.
Je ne suis pas pour le système de "conflit permanent" syndicat - direction, qui aboutit fatalement à la grève, ou plus souvent heureusement,au dépôt d'un préavis.
A l'instar de l'Allemagne, il faudrait plus de dialogue, il faudrait que patronnat et syndicat apprennent à travailler ensemble et pas, comme c'est souvent le cas, en opposition stérile.
En Allemagne, les négociations sont ardues, longues,douloureuses,mais se terminent quasi toujours par un compromis, pour le seul bien de l'entreprise.
Pour ma part l'altération du service public, par le blocage du système de service public,est une solution trop facile que je déplore, car c'est l'usager qui en fait les frais.
Ces agissements mettent à la fois, l'entreprise en péril (perte de CA), mais aussi l'emploi des usagers qui peuvent avoir à souffrir des conséquences de l'absence de service public. C'est trop sérieux, pour que cela devienne systématique de la part des syndicats.
Je suis pour des négociations, biens menées, ou aucune des parties en arrive aux extrèmes. je ne rentre pas dans la polémique de savoir qui à tort ou raison, je déplore le résultat.
Les syndicat sont minoritaires en France, montreraient ils un autre visage, moins jusqu'au boutiste, qu'ils auraient certainement plus d'adhérents donc de poids.
malheureusement, le mot final reviendra toujours au donneur d'ordre, au patron, qui, s'il doit déposer genou à terre, trouvera le moyen (parfois ailleurs, dans le privé)d'éviter un nouvel enlisement.
Je ne défends pas les uns par rapport aux autres, je souhaite, qu'ensemble les parties trouvent à s'accorder; outre Rhin ils y parviennent.
Je vous invite tous à lire le magazine Capital qui traite précisément de ce sujet dans le numéro de septembre.
Je ne suis pas pour le système de "conflit permanent" syndicat - direction, qui aboutit fatalement à la grève, ou plus souvent heureusement,au dépôt d'un préavis.
A l'instar de l'Allemagne, il faudrait plus de dialogue, il faudrait que patronnat et syndicat apprennent à travailler ensemble et pas, comme c'est souvent le cas, en opposition stérile.
En Allemagne, les négociations sont ardues, longues,douloureuses,mais se terminent quasi toujours par un compromis, pour le seul bien de l'entreprise.
Pour ma part l'altération du service public, par le blocage du système de service public,est une solution trop facile que je déplore, car c'est l'usager qui en fait les frais.
Ces agissements mettent à la fois, l'entreprise en péril (perte de CA), mais aussi l'emploi des usagers qui peuvent avoir à souffrir des conséquences de l'absence de service public. C'est trop sérieux, pour que cela devienne systématique de la part des syndicats.
Je suis pour des négociations, biens menées, ou aucune des parties en arrive aux extrèmes. je ne rentre pas dans la polémique de savoir qui à tort ou raison, je déplore le résultat.
Les syndicat sont minoritaires en France, montreraient ils un autre visage, moins jusqu'au boutiste, qu'ils auraient certainement plus d'adhérents donc de poids.
malheureusement, le mot final reviendra toujours au donneur d'ordre, au patron, qui, s'il doit déposer genou à terre, trouvera le moyen (parfois ailleurs, dans le privé)d'éviter un nouvel enlisement.
Je ne défends pas les uns par rapport aux autres, je souhaite, qu'ensemble les parties trouvent à s'accorder; outre Rhin ils y parviennent.
Je vous invite tous à lire le magazine Capital qui traite précisément de ce sujet dans le numéro de septembre.
JEAN-LUC
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